« Ce bistrot chaleureux invite à une escale gourmande pleine de fraicheur » Le Guide Normandie Gault&Millau
« le Bistrot d’Iggy est devenu le repaire des fins gourmets de Granville et d’ailleurs » Le Figaro
« Un lieu chaleureux, où produits locaux et touches exotiques se mêlent avec raffinement. Une adresse incontournable pour les appétits curieux » Fou ! Magazine
42 rue des Juifs 50400 Granville
A propos du Bistrot d'Iggy
Notre cheffe Bénédicte Graber travaille dans la cuisine depuis 2007. Dans une autre vie, elle était styliste dans le prêt à porter de luxe. Après dix ans dans son restaurant « Cool and the Kitchen », rue La Boétie à Paris, elle prend les commandes de la cuisine du Bistrot d'Iggy en juillet 2024.
About Le Bistrot d'Iggy:
Our chef Bénédicte Graber has been working as a chef since 2007. In another life, she was a stylist for haute couture.
After ten years in her restaurant “Cool and the Kitchen”, rue La Boétie in Paris, she took charge of the kitchen
at Le Bistrot d’Iggy in July 2024.
Le Bistrot d'Iggy est Dog Friendly
Nous vous présentons la mascotte du bistrot : Iggy, une jeune femelle border collie.
Vous l'avez peut-être croisé lors de ses balades dans Granville . Signe particulier : adore jouer à la balle.
Le dessin d'Iggy a été créé par Cécile Regis. Vous pouvez voir son travail ici.
We are happy to present the bistro's mascot: Iggy, a young female border collie.
You may encounter her during her walks in Granville. Special sign: loves playing ball.
Iggy's drawing was created by Cécile Regis. You can see her work here.
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Expo photo d’Élisabeth Blanchet Burgot
Focus sur les photos que vous pouvez voir au mur du Bistrot d'Iggy :
Depuis des siècles, les Irish Travellers forment un peuple nomade irlandais vivant aux marges de la société. Leur quotidien se construit loin des regards, aux angles morts des villes, des autoroutes, sur ces terrains “vagues” que personne ne réclame.
Élisabeth Blanchet Burgot est allée là où peu s’aventurent, non pour juger ni expliquer, mais pour comprendre, en regardant vraiment. Ses photographies ne cherchent ni à dénoncer ni à idéaliser. Elles saisissent la dignité cabossée des caravanes, la fierté silencieuse d’un regard, la beauté fragile du quotidien, entre traditions enracinées et pression du monde extérieur.
Depuis le début des années 2000, au Royaume-Uni, en Irlande et aux États-Unis, elle documente des vies mobiles, souvent stigmatisées, trop souvent réduites à des clichés. Mais derrière chaque image, ce sont des vrais gens qu’elle rencontre, et des gens vrais qu’elle donne à voir : debout, fiers, lucides, dans toute la richesse de leur humanité.